refectoire du vaisseau Yllancar [fin shield of criia]

le réfectoire était bondé. des soldats de toute les races et de tout les corps de combattant se pressaient pour regarder des écrans sur lequel une liste de nom défilait. d'autres soldats questionnait des groupes dans l'espoir d'avoir des nouvelles de leur amis ou de leur escouades.

Et vous auriez pas vu un Ochaïs, la trentaine, avec une cicatrice sur la joue et qui parle avec un drôle d'accent? non? personne? Oh merde shun ou es-tu?

Les gars vous auriez pas vue des gars du 5ème d'artillerie?

J'entrai dans le réfectoire du vaisseau. Sur les murs, d'immenses écrans affichaient les noms de divers camarades, ainsi que leur état actuel : "Indemne", "Mort", "Blessé", "Disparu", "Arrêté"...
Sous l'un des écrans, une camarade-renarde était assise devant un clavier.
"Attendez, je cherche... John D. Rico... Mort. Désolée."
"Bonjour, camarade !"
La camarade se tourna vers moi, et me lança, d'un air moqueur :
"Salut gamine ! Tu cherches ton copain ?"
"Je cherche le 27e Bataillon de Francs-Tireurs d'Eyleiran."
"Euh... Dis plutôt le nom, ça sera plus rapide !"
"Non, non, je cherche le bataillon."
"Tout le bataillon ? Eh ben ! Attends, je regarde..."

[Natacha]
La femme renard pianota longuement sur son clavier, l'écran se reflétant en partit sur ses lunettes carrés. Elle ne quitta pas l'écran des yeux une seul fois, une liste de nom défilaient à une vitesse affolante. Elle fît soudain une petite moue de dégout... Elle ajusta ses lunettes avant de reprendre ses recherches avec encore plus de véhémence.
Votre cœur battait à toute vitesse et un terrible doute s'empara de vous. Pourquoi cela mettait il tant de temps? Pourquoi depuis qu'elle s'est replongé, elle n'arrétait pas de vous lancer des petits regards furtifs.

Au bout d'une interminable minute, la goupil se redressa sur son siège et fixa la nordenne dans les yeux. Sa voix était calme, son regard, passif.
"Je suis désolé de vous l'apprendre, mais les derniers signes de vie du 27ème Bataillon des Francs Tireurs d'Eyliran remontent bien avant l'assaut sur la barricade, qui plus ai, nul groupe, où membres de cette compagnie n'ont été aperçus ou rapatriés par les vaisseaux de notre flotte."
Elle baissa le regard.
"Je suis navré. Tous sont portés disparus. Suivants!"

[Neko]
Vous fixiez l'écran sans grande conviction, voyant défiler des noms inconnus.
"C'est triste n'est ce pas? Tant de mort..."
On avait murmuré ces mots à vos oreilles. Vous vous retournez, pris au dépourvu. Derrière vous, se tenait un orcus en exoarmure. Voyant que vous le dévisagiez, il grogna.
"Quoi? J'ai un truc sur la figure?"
Une voix grave et rocailleuse. Rien à voir avec la voix douce et mélodieuse de tout à l'heure.
"Hihi! Sur votre droite!"
Vous regardez à droite. Une femme au long cheveux blond; portant un gilet pare-balle et un équipement complet de fantassin vous dévisageais, de ses grands yeux verts.
"Vous vous êtes perdus?"

[Veniciano]
A l'écart de la foule, vous observez les hommes armés essayer d'atteindre au plus prêt les écrans. Parmi eux, vous reconnaissez même la petite pilote du Eagle Spirit, qui sautait pour essayer de voir les écrans, manquant de perdre son casque à chaque bonds.
"Mais euh! Laissez moi passer! J'vois rien!"

Quelqu'un vint s'affaler à côté de vous: un fantassin Tesras en armure complète se laissa tombé contre le mur, à côté de vous, trempé de sueur.
"Tiou parles d'un meetings! Impossibilé dé retrouver les altre..."
Voyant que vous le dévisagiez, il s’essuya le front avec son avant bras avant de vous tendre la main.
"Armando Léandré. Tiou connais la 15ème Royale Compania Di Baretto?"

je pris la main du soldat affalé devant moi et la lui serra.

"Absolument pas, je ne fais pas parti de l'ARU, j'ai participé au l'évacuation au coté de l'escouade echo du fait que mon équipe a été décimer, et j'ai été évacué avec eux, je ne sais donc pas où aller, je n'ai aucune escouade, je me rend compte que venir ici ne servait donc a rien."

" C'est triste n'est ce pas? Tant de mort... "

La voix avait presque été sussurée à mon oreille. Surpirs, je me retournais pour tomber sur le visage d'un orc, ou que vous le dévisag plutôt le torse de son exo-armure,qui ne semblait pas très heureux que je le regarde.

"Quoi? J'ai un truc sur la figure?"

Je détournais le regard du grand orc avant qu'il ne lui vienne à l'idée de me présenter sa main. Sa voix n'était pas celle qui m'avais parlée juste avant. Je pensais même avoir rêvé avant qu'elle ne se manifeste à nouveau, bien plus douce que celle de l'orque.

"Hihi! Sur votre droite!"

Avec une petite apréhention de tomber à nouveau sur un orc, la vision quej'avais eu était tout autre. Une femme au long cheveux blond; portant un gilet pare-balle et un équipement complet de fantassin me dévisageais, de ses grands yeux verts.

"Vous vous êtes perdus?"
" J'ai l'air si étrange que ça pour sembler perdu ... ? "

J'eut un petit rire avant de continuer ...

" Non plus sérieusement j'étais sur Uria lors de l'attaque, et il m'a semblé comprendre que les survivant non affiliés à l'ARU devaient se rejoindre ici ... Et vous ? vous étiez sur la planète aussi ? Des nouvelles de connaissances ? "

Son visage me semblait familier, peut être l'avais-je déjà croisée ... Ou peu être n'était-ce qu'une impression ...

Finallement, même en étant pas célèbre, il est assez simple de s'offrir un bain de foule: rester plantez dans un réfectoire où on fait le "décompte des plaies" et vous aurez tout de suite toute la sensation d'un mouvement de rouleau compresseur. Concassé, pressé, bousculé, essoré, chahuté, balloté, prêt à déguster!

Heureusement que Soka n'était pas au milieu! De toute façon, il n'avait rien à faire ici. Il aurait préféré rester avec Keiji, c'était sans compter la sulfureuse et véhémente commandante Tyonisus qui avaient gentiment éjecté tous corps étrangers à son organisme dans le plus proche sani-broyeur...
Le jeune gnoll savait très bien ce qu’annoncerai les panneaux s'il recherchai son équipe: mort, disparu, ensevelis ou vaporiser...
Par un étrange jeux du hasard, il était le seul survivant de la 5ème escouade de machin-chose, tous avaient péris lors du terrible bombardement de la barricade. Cela ne lui faisait ni chaud, ni froid, c'étaient des braves types, certes, mais en une journée, il n'avait que eux le temps de se dire "bonjour" ou "pas trop stressé". Il y avait bien ce type là, Jason, qui était sympas, toujours à ricaner, pire qu'un gnoll, ou ce fauve, Galgand, qui ne pipait pas un mots mais qui lui avait rendu tous ses saluts...Première journée au front après des mois d'instructions en temps que mécano... Bilan: survivant miraculé... Peut être qu'il n'était pas si maudis que ça...

C'est alors que son attention fût attiré par un mouvement de vas et viens: un casque qui dépassait de temps à autre les épaules des mastocs qui attendaient en masse.
Intrigué, Soka fît le tour de la salle, pour y découvrir la petite peste du vaisseau de transport qui sautait comme une puce. Et ce coups ci, plus de projectiles...
*Ce coups ci, ma cocotte, tu vas te prendre la raclée de ta vie!*
*Hep! C'est pas le moment*
*Quoi! Chanmé, elle nous a arraché une quenotte et craché à la gueule, j'cris vengeance!*
*Remet donc ta vengeance à plus tard tu veux! En plus, c'est lâche et con d'avoir de la rancune pour une gamine!*
*Grmlmlmlmlml...*
*Essayons plutôt de... Tien? Je le reconnait lui...*

Le gnoll avait repéré Veniciano, qui discutait avec un fantassin. Son visage lui était famillié, il se souvint l'avoir vu dans le Eagle Spirit qui les emmenaient.
Il se rapprocha du groupe, les mains dans les poches de sa combinaison, surprenant la fin de la conversation.

"...je ne sais donc pas où aller, je n'ai aucune escouade, je me rend compte que venir ici ne servait donc a rien."

*Hélas, nous sommes beaucoup dans le même bateau... J'aurais espéré que quelqu'un pourrais nous aider, mais je me berce d'illusion.*
"Toi aussi t'sais pas où crécher? Bordel, j'te jures, on n'est pas avancé!"

"Hummm ?"

Se tournant vers le gnoll qui avait parlé et qui finissait d'arriver dans ma direction.

"Tu était avec moi avec l'escouade echo si je ne me trompe non ? tu n'en faisais pas parti aussi ? et bien, quel surprise. Je ne sais vraiment pas où aller, si jamais tu trouves, tu pourrais venir me prévenir ? j'en ferais de même pour toi."

[Neko]
La femme blonde sourie légèrement, elle ria doucement, un petit rire moqueur et espiègle.
"Oh non, je n'attendais personne en particulier... Je suis resté tranquillement à bord et mes amis n'étaient pas affectés à ce front non plus."

Elle tourna de nouveau son attention sur les panneaux d'affichage, l'air triste et désolé.
"Tant de gens... Qui ne reviendront peut être jamais..."
Elle vous regarda droit dans les yeux, c'est à ce moment que vous remarquez quelque chose d'étrange... ces pupilles... sont argentés?

Sa voix était toujours aussi douce et triste, mais il y avait maintenant un quelque chose dans sa voix qui vous fît frémir de tout votre long.
"Mais vous, Neko, vous êtes de retour. Ce qui prouve que vous étiez plus fort... ou plus chanceux que les autres. Comment expliquez vous cela? Séparé des votre, subissant un tir d'obus, affrontant un kurg puis les ombres... D'autres serait déjà mort à l'heure actuel..."

"Je suis navrée. Tous sont portés disparus. Suivants !"
Tous... même moi...
"Attendez ! Qu'avez-vous sur Natacha Stogoïevski ?..."
Elle ne m'écoutait plus, trop occupée à se démêler avec un groupe de camarades gobelins qui investissaient le bureau en la harcelant de questions sur de multiples camarades.
"Eh, dis, m'dame, esk'ta entendu parler d'un certain Ptikitnik ?"
"S'il vous plaît, monsieur, veuillez rester poli, ou j'appelle la police militaire ! Et descendez de cet écran !"
Donc, je venais de disparaître de l'ARU... Une erreur, sans doute. Qu'importe. Ils finiraient bien par se rendre compte que je suis toujours là. Ce n'est pas une raison pour abandonner le combat. J'ai un devoir.
Je continue, je tire et je frappe, même si aucun ne saura mes actes. - hymne Norden, 3e couplet, vers 1 et 2 (traduction).
Tout en me frayant un chemin hors de la pièce, j'aperçus une camarade en uniforme de Cosaque, arborant sur l'épaulière un viseur entouré d'un fer à cheval. Je connaissais cette unité... et le visage de la camarade m'était familier, aussi...
"Ecoute, Keny, je t'assure que j'ai vu passer 'Stogoïevski' !"
"Mais il peut très bien y avoir d'autres Stogoïevski dans l'ARU, camarade-sergente ! Et cessez de m'appeler Keny ! Mon nom est Kenodar, je vous rappelle !"
Je m'approchais de la sergente Cosaque.
"Euh... Êtes-vous Stida Snegodar, camarade ?"
"Oui, c'est moi. Sergente Stida Snegodar. Que veux-tu ?"
Il lui manquait l'oeil droit, mais c'était bien elle. Ma mère.
"Je suis Natacha Stogoïevski."
"Natacha ! Contente de te revoir ! Toi aussi, t'as été appelée, à ce que je vois ?!"
"Oui. Et j'ai été incorporée dans l'ARU. Mais là, je n'ai plus d'unité. Officiellement, j'ai disparu."
"Si même sa chère fille a aussi été enrôlée, Ivan doit vraiment se sentir seul, sur Eyleiran. Mais c'est un Commissaire de la Reine. Il est habitué à être seul. S'il m'aimait, c'était surtout parce que j'étais la fille de Walfun "Lance d'Hiver".
Et donc, comme ça, t'es hors circuit ? Enfin, t'as l'air bien amochée, tu mérites un peu de repos ! J'aurais bien voulu te prendre sous mon aile, mais je suis obligée d'engager des cavaliers ! On est quand même des Cosaques !"
"Et ce n'est pas réglementaire ! Elle doit d'abord se faire déclarer comme retrouvée..."
"La ferme, Keny. Allez, petite, j'ai à faire. Si jamais tu veux qu'ion se voit, cherche le 7e Cosaque d'Eyleiran. C'est mon unité. A plus !"
Mon père ne m'avait jamais dit qu'elle était ainsi. Je n'avais pas souvent l'occasion de voir ma mère, qui était dans la GAN, mais mon père me l'avait décrite comme une jeune fille timide et frêle. Et là, c'était une guerrière, forte et sûre d'elle. Les combats ont dû la changer. Peut-être était-ce ce qui m'attendait, moi aussi.
MacPleguiss ! J'allais oublier mon entraînement ! Je me dirigeais vers la sortie. Je vis le camarade Gnoll, qui discutait avec le manahatenne.
Un camarade zangiadori portant un uniforme d'équipage passa. Je l'interpelai.
"Bonjour, camarade ! Je cherche la salle d'entraînement. Savez-vous où elle se trouve ?"

[Natacha]
Le Zangiadori vous salua d'un signe de tête.
"La salle d'entrainement? Vous en avez pas suffisamment sué après ça, vous en redemandez? Enfin, c'est votre choix. Vous sortez à droite, vous suivez le couloir jusqu'au quartier des soldats, vous devriez trouver des indications. C'est assez proche du complexe sanitaire et médicale, si vous trouvez l'hopital ou les douches, vous remontez la piste des gars avec des bleus et des bosses ou suant comme des porcs. Bonne journée."
Il se dirigea à l'opposé de la salle, bravant la foule.

[Veniciano et Soka]
Alors que vous discutiez, Veniciano sentit qu'on tirait sur sa manche. Il baissa le regard pour découvrir la petite pilote le regarder avec un air de chien battu.
"Dis, dis, monsieur, tu n'aurais pas vu un loup avec un pelage blanc et bleu quand t'étais dans le hangar? J'ai regardé de partout mais je ne trouve pas le chasseur de Yool..."

Mais... Quel pot de colle cette petite peste!

*Désolé petite, nous ne connaissons pas ce Yool. Laisse nous maintenant, nous avons des problèmes plus urgents!*
"Lâches nous les basks morveuse! On a d'autres matous à fouetter!"

[Veniciano, Soka]
Sugart lança un regard furieux en direction du gnoll brun, se serrant encore plus contre le manatahenne.
"Ben, puisque c'est comme ça, et ben, je te dirais pas comment Yool a retrouvé un groupe lorsqu'il avait perdu ses coéquipiers, voilà!"
Elle fît les beaux yeux à Veniciano.
"Mais moi, je peux te le dire à toi, gentil-monsieur-qui-va-m'aider-à-trouver-Yool!"

je m'agenouillais pour être a sa hauteur, et lui parler en face.

"Je n'ai pas vu ton compagnon, cependant je veux bien t'aider a la chercher. Toi le gnoll, averti moi si tu trouve où vont ceux qui n'ont pas d'escouade, je vais aider celle qui nous a sorti de ce guêpier. Bien, allons le cherchez, allons voir d'abord sur les écrans si il n'est pas porté disparu."

Je me dirigeais vers les écrans de contrôles avec la petite pilote.

"[...] Bonne journée."
"Bonne journée, camarade !"
En remontant mon chemin, je croisais une colonne de camarades Orcus, portant des armes en plastique, dont la plupart étaient cassées. Je ne devais pas être très loin.
J'arrivai enfin devant une porte métallique, déformée et bosselée. A hauteur d'yeux, on pouvait lire "Salle d'Entraînement".
M'y voilà donc. J'entrais.
Est-ce que le camarade MacPleguiss était là ?

[Natacha]
La salle d'entrainement était immense et très bien équipé. Vous êtes même étonné de trouver 'un tel complexe dans un vaisseau. Enfin, on parlait du Super Destroyer Ylancar tout de même...
Sur votre droite, la salle était coupé dans tous son long par un mur épais, avec de larges fenêtres de plexiglas tout le long. Vous voyez ce qui ressemble à une armurerie, des membres d'équipages protégés derrière un guichet grillagé fournissaient des carabines et des munitions à des soldats. Après, un autre mur délimitait le stand de tir, une vaste salle, séparé en une vingtaines de couloirs de tir, au bout duquel se trouvaient une multitudes de cibles, à des hauteurs et distances différentes sur lequel s'entrainaient les fantassins.
Sur votre gauche, la salle se divisait en nombreux tatami, rings et terrain de lutte sur lequel des soldats en sueurs se livraient combat, boxe, lutte et tout type d'art martiaux. Une autre partit était composé d'un vaste tatami où des piliers en bois usés étaient fixés au sol et sur lequel les hommes s'entrainaient à frapper avec des shinais et d'autres arènes étaient installés pour livrer duel. Le moindre mètre carré de la salle était complété par des bancs, des appareils de musculations, des haltères, des tapis roulants...
Justement, vous croyez reconnaitre une tignasse rousse, allongé sur le dos, soulevant en cadence une lourde altère.

[Veniciano et Soka]
Vous compreniez pourquoi Sugart avait fait appel à vous: la foule était si dense et compact qu'il était difficile d'avancer. Avec son petit gabarit, elle ne pouvait absolument rien faire. Vous jouez donc des coudes et des pieds pour vous frayez un chemin vers les écrans, malgré les protestations, tenant fermement la petite Bewulf par la main. Vous accomplissez votre rôle de garde du corps avec brio et parvenez à atteindre le guichet, où une femme renard luttait contre une bande de gobelins hystériques, qui tentaient de passer par dessus le guichet.
"Z'êtes sure? Mais vérifié bon sang, c'est pas bien compliqué!"
"Je vous répètes que je n'ai aucun Ziblik, Tarquick et Kotlikik dans le registre des disparus, des morts ou des personnes présentes, c'est qu'ils sont quelque part sur le vaisseau ou dans un autre! Si vous voulez je met leurs noms en attente et..."
"Et comment qu'on fait pour les trouver?"
"Mais je n'en sait rien moi!"
"Raaaaah! Savez pas utilisé un ordi! Donnez moi ça!"
"Monsieur je ne vous permet pas..."
"Un problème Merveille?"
Un androïde se posta derrière la femme renard, faisant faire marche arrière à touts les peaux vertes qui avaient tenté de passer par dessus le guichet.
"Plus maintenant Dahak."
La bande de gobelins abandonnèrent la partie et se mêlèrent à la foule en grommelant. Sugart pu alors atteindre le guichet.
"Bonjour madame. Est ce que vous auriez des informations sur Adlerflug B.G. Yool? Disparus, mort ou présent?"
La renarde remis ses lunettes et son chignon en place afin de se donner une meilleur allure.
"Deux minutes petite."
Elle pianota longuement sur son clavier.
"Une escouade en particulier?"
La petite Bewulf secoua la tête.
"Non, non, c'est un pilote, il a intégré l'escadron Bazarès."
Merveille rechercha encore quelques instants, avant de sourire, triomphante.
"Escadron Bazarès. Ils faisaient partis des derniers pilotes à protéger la retraite du Destroyer, ils ont été rapatries dans un autre de nos vaisseau."
Sugart émit un soupir de soulagement et sourit à la guichetière.
"Merci madame!"
Elle agrippa le bras de Veniciano et l'attira parmi la foule.
"Viens monsieur, on va trouver un coin calme! J'vais te dire de ce que je me souviens!"

"Monte sur mes épaules, et arrête de m’appeler monsieur, je m’appelle Veniciano. Trouvons un coin tranquille"

Je pris la pilote sur mes épaules et je refis le chemin inverse pour sortir de la foule, pour atterrir dans le coin de la salle ou il n'y avait personne.

[Veniciano]
Une fois en dehors de la foule, Sugart vous tira doucement sur le lobe de l'oreille. Elle approcha au plus proche son museau de vos oreilles, comme si elle allait divulgué un secret.
"Quand tous les copains de Yool sont morts, ils n'a même pas essayer de retrouver quelqu'un qu'il connaissait. Il est directement allé voir le monsieur qui recrute. Tu sais, c'est celui qui crie beaucoup et qui donne tout un tas de papier pour inciter les gens à venir. Et ben, il lui a dit qu'il était soldat, et qu'il cherchait d'autres copains. Et le monsieur il lui a trouvé une place chez les Bazarès. Pas plus compliqué!"
Elle s'agitait sur vos épaule, se trémoussant de droite à gauche.
"T'es trop gentil de m'avoir aidé! Tu peux me déposer maintenant, Veni-Veni?"

"oui je te dépose"

Dépose la pilote avec le sourire au lèvres.

"peut tu m'indiquer cette homme s'il te plait ? tu serais vraiment très gentille."

La salle d'entraînement du vaisseau était impressionnante. J'allai du coté réservé au combat rapproché.
Je trouvai un camarade aux cheveux roux, pratiquant un EdF*. Je m'en approchai.
"Camarade MacPleguiss ?"

*Entraînement de Force.

[Veniciano]
Sugart vous sourit.
"Bien sure! Y'en a dans le vaisseau. Y'en a dans la plupart des gros vaisseau, qu'il a dit Yool. Ils ont un bureau où ils ont tous les noms des messieurs et où ils préparent les feuilles. Je sais pas trop où c'est dans ce vaisseau là, mais les messieurs de l'équipage te le diront Veni-Veni."

[Natacha]
Le Tesras roux stoppa son mouvement, retenant les haltères bien hautes, le temps qu'il regarde partout en se démontant le cou. La tête renversé en arrière, il vous vît finalement, penché au dessus de lui. Il fît semblant d'être surpris.
"Oh! Natacha!"
Il reposa ses haltères, puis s'assit afin d'éponger son front avec une serviette. Il était habillé avec un juste-au-corps rouge, laissant transparaître une bonne partit de sa musculature.
"Je ne t'attendais pas de si tôt! Prête pour la leçon? "
Il prît le temps de vous regarder de haut en bas. Il eut l'air surpris.
"Heu... tu vas t'entrainer dans ton uniforme? Tu n'as rien d'autres à te mettre? Et as-tu une arme factice?"
Voyant votre air déconfit et confus, il sourit en secouant la tête, avant de vous tendre une batte en mousse.
"Heureusement que j'ai prévu le coups... Voici votre arme, camarade. Allons dans l'arène."

[Natacha, l'entrainement au arme de corps à corps légers te prendra 1 point d'action. Veut tu faire le RP de l'entrainement avec moi, où préfères tu t'organiser toute seul?]

[Neko]
A votre grand étonnement, la jeune femme étouffa un rire, comme si vous aviez dit une bonne blague. Il n'y avait plus ce ton inquiétant dans sa voix, et lorsqu'elle rouvrit les yeux, les pupilles étaient de nouveau vertes.
"Et bien, et bien... Je ne pensais pas que je vous effrayerait à ce point là!"
Elle recula de quelques pas pour vous faire face, puis s'inclina devant vous, le torse bien droit.
"Je vous prît de m'excuser pour ce comportement intolérable."
Avant que vous ne puissiez dire quoique ce soit, elle élancé sur vous et vous s'agrippa à votre bras, l’enserrant amoureusement, son corps maintenant contre le votre, se frottant à votre épaule.
Elle sourit timidement et tendit le cou pour atteindre votre oreille et sussurra d'une voix mélodieuse.
"Je me nomme Taka et je suis une Recruteuse au service d'une personne importante dans l'ARU. Mon métier est de tout savoir et de dénicher les hommes forts, compétant... et chanceux. Une unité spéciale de l'ARU aurait besoin de votre expérience et surtout d'une de vos plus grande qualité: la loyauté envers vos compagnons. Si vous acceptez, même ce... Bryenge, ne pourra plus vous atteindre."

"Merci ! Tu peux m'accompagner si tu le veux, sinon, tu n'auras qu'à m'appeler et je viendrais."

Je me dirigeas vers un homme d'équipage, et lui demanda des renseignement.

"Bonjour, pourriez vous m'indiquez le bureau des recrutement s'il vous plait ?"

[C'est comme tu veux, ô Suprême Maître de Jeu. Si tu es surchargé de travail, je peux faire le RP moi-même. Mais je préfère être encadré, ça m'évite de trop partir en vrille.]

Je me sentais un peu honteuse.
"Désolée, camarade. Je n'ai pas de cabine. C'est pour ça que je garde mon équipement avec moi."
"C'est pas grave ! Tu peux poser tes affaires au bord de l'arène. Allez, vient !"
Je posai mon sac, mon équipement, ôtai mon un uniforme et entrai dans la fosse circulaire, ma batte à la main. [Je pense que tu voulais dire une batte]
"Je suis prête, camarade. Nous pouvons commencer !"
"Ah... euh... jolie tenue !"
"Ce sont les sous-vêtements réglementaires, camarade. pouvons-nous commencer ?"
"Oui, oui ! Commençons !"