Clandestins à bord 2.

[Neko]
[Neko, n'as tu pas honte de faire un critique pour une action comme ça?]
[détectâme -20]
[joute psychique]

A peine votre main frôla le métal froid du casier que celle ci y resta bloqué. Vous vîtes même avec horreur que votre main était en train d'y passer au travers, le métal devenant soudain en fusion autour de l'endroit où votre poing était posé et se déformait progressivement.
Instantanément, deux des chaines explosèrent, projetant des éclats de métal dans tous les sens, comme autant de shrapnels [Neko, 4 degats] alors que les talismans se mettaient à tourbillonner seul au bout de leurs chaînes.

Le pire, c'est lorsque vous sentiez cette main brulante invisible qui se baladait dans votre crane...

[Neko, fait un test de morale et de résistance psychique (1D20). En cas d’échec du test de morale, le test psychique échoue]

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#1 'D100' :28

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#2 'D20' : 14

[ oui j'ai eu peur que ça me desserve ^^' ou que j'enfonce la porte du casier mdr ]
[ résistance psychique ]

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'D20' : 17

[Neko, il te manque le test de morale]

[ erf pardon j'ai posté un peu vite ^^' ]

[ jet de morale ]

[ bon bah dommage xD ]

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'D100' : 69

[Neko]
La panique s'empara de vous et vous hurliez de douleur lorsque la mystérieuse main se referma avec force sur votre esprit. Rien ne pouvait décrire la douleur que vous ressentiez, vous en oubliez même les brulure de votre main qui s'enfonçait toujours dans le métal. Même en tirant comme un forcené, vous restiez impuissant, presque paralysé par une mystérieuse force.

Soudain, la douleur s'estompa aussi vite qu'elle était apparu lorsque votre main en serra une autre, à l'intérieur même du casier. A la place, vous ressentiez une douce sensation, un sentiment de paix et de quiète, qui chassa même les brulures à votre main. Vous fermiez les yeux. Inconsciemment, vous saviez que tout allait bien se passer.
Votre corps brilla alors d'une puissante aura lumineuse dorée lorsque vous tirez inconsciemment un coup sec pour ramener la main.

Tout explosa: les talismans se brisèrent, les chaines volèrent en éclats, la barre transversale se brisa en dos, la porte éclata en plusieurs fragment. Vous ressentiez alors la douleur des débris de métaux [1D6 dégats sans bonus endurance], mais aussi, une horrible sensation de fatigue. Vous étiez épuisé, comme vidée de toute vos force. Vous vous sentez plonger dans un profond sommeil.
[Neko, votre énergie spirituel est à 0, tous vos caractéristiques, hormis le morale sont ramenés à 5]

Quelqu'un frappait à la porte de votre chambre. Il était tard et vous aviez encore sommeil. Vous étiez si fatigué! Que ce gêneur revienne plus tard, et vous laissait dormir en paix!
Puis vos sens vous révélèrent qu'en réalité, cette personne vous tapait la joue. Quel culot! Dans votre chambre en plus! Puis une voix vous parvint, faible, inaudible. Vous ne reconnaissiez pas cette voix.
Non... vous l'aviez connu depuis peux...
"Allez, réveil toi!"
La voix insista, plus présente.
"Allez, s'il te plait, ouvres les yeux!"
Lil... c'était Lil...

Vous ouvrez alors les yeux. Vous ne voyez alors qu'un masque floue, ébloui par la lumière des néons. Il vous fallu quelque temps pour que votre vu s'habitue à l'endroit. Vous ne saviez plus où vous étiez. Vous étiez allongé contre quelque chose de froid, et Lil était au dessus de vous et continuait à vous tapoter la joue.
"Oh nonononononon! Tu te rendors pas!"
Une violente gifle vous empêcha de replonger. Lil poussa un long soupir de soulagement alors que vous vous asseyez avec difficulté de vous asseoir. L'ochaïs avait presque les larmes aux yeux.
"La vache, tu m'as fais une de ces peur! Quand je t'ai entendu japper comme un chien qu'on égorge j'ai accouru et... puis... Baboom! Tout a sauté, je suis tombée à la renverse et quand je me suis relevée, tu étais inconscient à terre."
Son visage se durci et une pointe de colère se lisait dans sa voix.
"J't'avais dis que c'était une mauvaise idée! Ils ont toujours des idées de ouf dans cette armée! Mais là, piéger un casier de l'armurerie à grand renfort d'explosif, fallait le faire! Il devait être sacrément garni cet officier!"

Vous regardez devant vous pour voir que, effectivement, le casier avait été éventrée, l'intérieur noirci par les flammes et un désordre sans non régnait autour de vous. Le casier était vide, son contenu volatilisé.
C'est alors qu'une vive douleur vous rappela à l'ordre, votre main calcinée vous élançait terriblement. Lorsque vous posez un oeil sur elle, vous ouvrez alors de grand yeux, de même que Lil qui avait suivit votre regard.
Votre main brulée tenait fermement la poignée finement ouvragé d'une longue dague recourbée, son acier laissait de magnifique reflets bleutée lorsque vous commenciez à inspecter sa lame immaculée. Sa garde était ouvragé dans de l'or pure, une garde sure et solide, le pommeau de l'arme étant sculpté pour représenter la tête d'un lion rugissant.
[Vous obtenez une Dague Ouvragée: 1D8 dégats, critique 20, équilibrée:+2 pour toucher]

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'D6' : 3

Bon, maintenant fallait décider... je balançais le couteau en l'air et regardait où il retombait.

[jet de hasard: 1: gauche; 2: droite; 3: planté dans le sol; 4: planté dans le pied de Snu (prenons pas de risques )

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'D4' : 3

"... y'a un niveau inférieur?"

Dans le doute, je relançais l'arme.

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'D4' : 2

Ce qui venait de se passer, j'aurais pu le raconter au pire des ivrognes qu'il me croirait pas. La vue de ma main se faire aspirer par le casier était déjà pas mal perturbante, me faisant perdre mes moyen mais cette sensation étrange et douloureuse d'une poigne se déplaçant dans ma tête avant de se refermer, broyant tout à l'intérieur était indescriptible. Mon corps était parcouru de spasmes et je ne sentait même plus la chaleur de l'acier sur ma main, ni même si j'avais encore une main.
Je pensais que j'allais rester là, bêtement piégé par ma curiosité et par un Kurg mort depuis longtemps. Mourir au combat aurais été acceptable mais là ... La douleur dans ma tête s'estompa un instant me laissant sentir une main se saisir de la mienne, et d'un seul coup, je fût comme soufflé par un vent réparateur: ma main ne me brûlait plus, la douleur qui me vrillait la tête avait elle aussi disparue. Tout était partie de la main brûlée et tout s'était passé en un instant. Mon corps et mon esprit tombèrent aussitôt, maintenant que toute cette douleur était retombée, et je sombrais petit à petit dans l'inconscience ...
Par instinct, je tirais sur cette main. Je ne savais pas pourquoi, mais ma part animale devait surement savoir ce qu'elle faisait. J'eut vaguement l'impression que tout volait en éclat autour de moi. Des débris par dizaines. Mais tout devenait de plus en plus flou et je tombais rapidement dans un noir total ...

"Allez, réveil toi!"

Que ... Qui était ce ... ? Elle était familière mais je n'arrivais pas à l'identifier ... Elle recommença, se faisant plus forte.

"Allez, s'il te plait, ouvres les yeux!"

Oui ... Maintenant je m'en souvenais ... Lil ... c'était la voix de Lil ... Je clignais des yeux lentement encore ébloui par la lumière des néons puis les refermais légèrement à la fois pour habituer mes yeux et par fatigue.

"Oh nonononononon! Tu te rendors pas!"

Je vit quelque chose arriver très vite et cette fois la douleur se fit plus forte. Lil venais de me ramener à un état moins comateux avec une gifle dont elle devait avoir le secret. Je me relevais avec difficulté, mon corps semblait très lourd et je devais forcer pour arriver à enfin me stabiliser en position assise. Ma vue commençait à s'éclaircir et je voyais la jeune ochaïs au bord des larmes.

"La vache, tu m'as fais une de ces peur! Quand je t'ai entendu japper comme un chien qu'on égorge j'ai accouru et... puis... Baboom! Tout a sauté, je suis tombée à la renverse et quand je me suis relevée, tu étais inconscient à terre."

Aussitôt, son visage changea d'expression, se faisant un peu plus sérieux et même si elle était encore un peu tremblotante, sa voix était elle aussi plus sèche.

"J't'avais dis que c'était une mauvaise idée! Ils ont toujours des idées de ouf dans cette armée! Mais là, piéger un casier de l'armurerie à grand renfort d'explosif, fallait le faire! Il devait être sacrément garni cet officier!"

Piéger le casier ... ? Je regardais la cible de ma curiosité et en effet, elle était éventrée, les casiers avoisinant légèrement noircis par l'explosion. J'avais du activer l'un des explosifs en frappant sur la porte ... Mais quel idiot ... Jamais plus je frapperais à une porte avant d'entrer ... ou peut être avec une lance de huit mètres et encore ... Je tentais de me relever et c'est à ce moment que ma main me rappela à l'ordre.
Par réflexe, je la regardais, comme pour constater les dégâts, Lil faisant de même. Et quelle ne fût pas notre surprise de découvrir au creux de la main une dague finement ouvragée et étrangement cette dernière n'avait, semble t-il, rien subit de l'explosion.

" Désolé de t'avoir inquiété ... j'aurais peut être pas du trop m'y risquer ... ça aurais pu être bien pire ... "

J'étais dans l'incapacité de bouger pour le moment, j'en profitais pour constater l'étendue des dégâts ...

[ jet d'observation ~ raté je pense xD ]

Mais tout était trop flou pour discerner quoi que ce soit pour le moment ... J'était bon pour attendre que tout rentre dans l'ordre pour le moment ...

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'D100' : 100

[Seriudo]
A votre droite, le couloir s'étendait, mais pourtant, il n'y avait en tout et pour tout que deux sas visibles, un à droite, un à gauche... les pièces devaient donc être vastes...
[Seriudo, choisis ta porte]

[Neko]
[jet de force]
Voyant que vous étiez en train de défaillir de nouveau, Lil passa son bras sous votre bras et vous hissa tant bien que mal sur ses épaules, avant de vous trainez à l'entrée de la salle.
"T'inquiètes, un peau d'air vicié et métallique de vaisseau fantôme en conserve te remettra d'aplomb, après avoir bouffer de l'explosif. Remède de grand-mère, résultat garantis!"
Elle vous déposa précautionneusement et vous éventa avec sa casquette.
[Neko, que faîtes vous?]

[en attente de Tari'qa]

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'D20' : 16

" Merci, je crois que ça va un peu mieux ... "

Je me relevais, m'aidant de la paroi derrière moi, soufflant un peu une fois debout. Je regardais à nouveau la porte grillagée du comptoir ... Et l'androïde qui y était encore accroché. Il avait tenté de sortir, donc il avait peut être la clé. Je marchais lentement vers la porte en question. Le plus simple était de tenter d'attaquer le grillage pour atteindre l’androïde et trouver une clé, si elle existait bel et bien. On savais jamais, ils gardaient peut être quelque chose d'autre que des munitions à l'intérieur ... Par contre, dans mon état, je me sentais pas de l'enfoncer avec le pied, j'optais pour l'un de mes kukris, espérant que la lame entaille le grillage ...

[ jet de ... crochetage en force ? ]

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'D20' : 18

J'aimes pas la droite. Droite, ça résonne avec "droiture". Agir avec droiture, c'est agir comme un con.

Autant aller à gauche.

[jet d'observation]
[jet de discrétion]

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#1 'D100' : 67

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#2 'D20' : 14

[Neko]
Malgré votre état de faiblesse, votre coup de lame est suffisant pour créer une large balafre dans le grillage, avec l'aide de Lil, vous écartez les mailles suffisamment pour atteindre la taille de l'androïde.
[Neko, jet de fouille]

[Seriudo]
La salle dans lequel vous étiez entré était plongé dans une inquiétante pénombre: très peu de lumière, seulement un néon pour éclairer une vaste salle rectangulaire. Une odeur familière vous monta à la gorge: celle du sang et de la chair putréfiée. Lorsque vos yeux s'acclimatèrent à l'obscurité, vous percevez les longs sillons de sang caillé au sol, longues trainées noirs sombre que le néon éclairait de sa lumière froid, seul témoin imperturbable de ce qui c'était passé dans cette sinistre pièce. Au bout des traces, il y avait ce qui devait se trouver: plusieurs cages rectangulaires s’amoncelaient au fond de la pièce, elles étaient basses et étroites, et pourtant, chacune d'elles contenait le corps sans vie et plus ou moins mutilé d'un humain ou d'un hybride, recroquevillés dans leur prison. Entièrement nus, les prisonniers avaient des marques de brulures et de coupures profondes sur le corps, certains étaient d'une maigreur et d'une pâleur effrayante, mais d'autres semblaient être mort plus récemment.
Dans le coin opposé de la pièce se dressait un monticule sombre. Intrigué, vous alliez vous assuré vous même de la nature du monticule. C'était un empilement de vêtements en plus ou moins bon état, la plupart maculés de sang. Parmi tous ces effets, vous remarquez qu'il y avait une grande majorité de gilet pare-balle. Tous portant l'insigne de l'ARU.
Un casque couvert de suie et de sang portait le même héraldique mais ce qui confirma votre thèse était exhibé plus loin: pendant à une sorte de crochet, une dizaine d'insignes de l'ARU étaient accrochés, comme un trophée qui narguait encore leurs anciens possesseurs, qui ne pouvaient qu'attendre l'inévitable mort, leur insigne et leur équipement si proche mais si loin à la fois.
[Vous obtenez casque républicain mk1 et un lot de 10 insignes]

Ce fut Snu qui vous extirpa de votre contemplation.
"Hep, on a trouvé le gros lot! Ramènes toi!"
Effectivement, la porte à droite avait mené Gobaldako et votre confrère dans une salle dont les murs étaient constitués d'écrans, de voyant électriques et d'énormes multiprocesseurs. Votre supérieur était occupé à inspecter l'héraldique d'un homme dont le crane avait presque explosé, étendu sur son poste de travail et vidé comme un poisson. L'Achataka souri.
"Informaticien. Enfin un point de départ. Tous le journal de bord du faisceau regroupé en une multitude de données. Ça va prendre du temps mais nous arriverons à tirer quelque-chose de ce tas de circuits."
Gobaldako tendit la main en direction de Snu, ne lâchant pas une seconde les ordinateurs des yeux. Le Slank regarda d’abord la main tendu puis vous interrogea du regard avant de se concentrer de nouveau sur la main.
"Bon bah... topez là..."
Snu donna une grande claque dans la paume de Gobaldako, qui se retourna l'air éberlué. Cet air se transforma immédiatement en regard courroucé.
"Mais non imbécile! Les disques dures! Passez moi les disques dures!"
"Mais... c'est pas moi qui les ai..."
Gobaldako fixa un temps le Slank dans les yeux avant de se frapper la paume contre le front en soupirant. Fulminant, il activa son communicateur.
"Guide du Désert? Nous avons absolument besoin de vos talents au premier ponts. Dites nous quel ascenseur vous prenez, quelqu'un vous guidera jusqu'à nous..."

J'avais réussi à entailler le grillage et Lil avais aidé pour agrandir l'ouverture. Il fallait maintenant vérifier si on n'avait pas fait tout ça pour rien ...

[ jet de fouille ]

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'D100' : 23

[Neko]
Vous aviez dû vous y mettre à deux pour manipuler le corps inerte de l'androïde, mais vos efforts n'étaient pas vain: vous parveniez effectivement à arracher à la taille du gardien un trousseau de clefs.